Avec du recul, je me rends compte que l'un des plus grands déclics dans ma quête fût la grossesse. Spéciale dédicace à ma copine enceinte, qui m'a fait réaliser cela !
Dès que j'ai su que j'étais enceinte, j'ai modifié mon alimentation. J'ai raisonné en me disant : fini les restrictions alimentaires : si je ne m'alimente pas assez, le bébé peut souffrir. En même temps, moi qui galérais avec mes quelques kilos superflus, je n'avais aucune envie d'aggraver le problème avec une grossesse comme beaucoup de femmes. Surtout que je connaissais mon incapacité à tenir un régime plus de 4 jours ...
J'ai donc décidé d'agir sur une seule chose : les sucreries. Au moins j'étais certaine de ne pas priver le bébé d'une chose essentielle. Je me souviens de m'être accordée un dessert par semaine maxi, ce qui était une petite prouesse pour un bec sucré comme moi.
Comme beaucoup de femmes enceintes, j'avais des problèmes de transit. Alors pour ne pas être trop constipée, j'ai naturellement vite compris qu'il fallait que je diminue les féculents, et que le peu que je prenais devaient être complets.
Bingo : moins de glucides, moins d'envie de glucides. Humeur au top pendant toute ma grossesse. J'ai pris 7 kg seulement et je les avais perdu au retour de la maternité. Idem pour la grossesse n°2.
J'en reviens donc toujours au même point : diminuer les glucides.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire